Les stocks de Byrrh et de Lillet s’épuisant rapidement, il faut diversifier pour éviter toute rupture. Après de nouvelles recherches, il s’avère que il est possible d’utiliser de nombreux substituts au quinquina Du bo, Du bon, Du Bonnet, Ambadasseur, mais aussi St Raphaël, Select, Royal, JKB, Pikina, Bonnet, Duhomard, Bor, Bourin.
Le Bourin, peu connu avant absorption est remarquable après, pour des troubles du comportement ressemblant à la marque de l’étiquette. Un marketing très fin de l’époque.
La formule devient donc
1/3 Quina au choix ou suivant stock, 1/3 FeverTree, 1/3 Gin
Une observation pertinente du Pdt du BEC : le club universitaire le plus ancien (1897) utilise depuis 100 ans les vertus du quinquina pour soigner les maladies (plus ou moins glorieuses)
Les affiches de l’époque en témoignent au Club ou au café du Théâtre à Bayonne (observation F. Latrille) /
Poursuite des recherches : nouvelle étude randomisée pour l’apéro de ce soir 20H en mains libres
Le CoroQuina ©cocktail en soutien aux recherches du savant (!) de Marseille;
Appelé à détrôner le trop populaire Spritz, qui de plus est venu d’Italie , il est composé de
1/3 de Byrrh pour sa quinine
1/3 de FeverTree pour sa quinine
1/3 de bon Gin pour sa composition hydro-alcoolique (sans gel)
Les résultats sur l’humeur générale, connus dès ce soir, seront transmis au Pr Raoult le tonitruant savant de Marseille
Un copyright © collectif sera déposé ensuite avec royalties pour tous les participants.
La science avance !
Sus à l’apéro, c’est bientôt…
– TOUTEFOIS : – ATTENTION !!!!
- Pierre Cantet – Franck Latrille