Béarn : il meurt en percutant un arbre en parapente.
Ce lundi 30 mai vers 16 heures, un homme de 64 ans a percuté un arbre à 15 mètres de hauteur, alors qui volait en parapente sur la commune de Tardets-Sorholus, dans les Pyrénées-Atlantiques. Malgré l’intervention des pompiers, il n’a pas pu être sauvé. Les secours ont été alertés à 16h04 ce lundi après-midi.
Un homme en parapente venait de percuter un arbre sur la commune de Tardets-Sorholus, près d’Oloron-Sainte-Marie, en Béarn.
Les secours, une quinzaine de pompiers dont ceux du groupe de reconnaissance et d’intervention en milieu périlleux (GRIMP) ainsi que l’hélicoptère Dragon 64, se sont rendus sur place.
L’homme de 64 ans a été descendu de l’arbre par les équipes spécialisées et l’équipe médicale a pu effectuer les gestes de réanimation cardio-pulmonaires. Malheureusement, il n’a pas pu être réanimé et a été déclaré décédé.
Ses Obsèques seront célébrées : – Vendredi 3 juin à 15 h
à Tardets
Cf. Annonce journal :
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Hommage de Jean-Louis Pontacq
Pantxoa Larraburu adorait son pays, la Soule. Il parcourait les sentiers de montagne à pied et à vélo. Initié récemment au parapente, Pantxoa prenait beaucoup de plaisir à survoler sa belle province basque. Malheureusement, hier, il a chuté et perdu la vie.
Pantxoa a joué au rugby au BEC, dans les années 70-80, au poste de demi d’ouverture. Il aimait le rugby d’attaque, mais, il jouait aussi bien au pied , ce qui lui valait d’être connu sous le nom de “Tonton la Vrille”. Mais, tous ceux qui l’ont rencontré ont apprécié son sens de l’amitié et saisissait rapidement l’importance qu’il accordait à la défense de la culture basque, et, plus précisément souletine.
Pantxoa était un bon chanteur; il fut acteur de pastorale. Il trouvait au BEC un espace festif qui lui convenait parfaitement ; il comptait parmi nous, de très nombreux amis.
Ikus arte,laguna. Jean-Louis Pontacq
A sa famille, ses proches et ses amis, nous présentons, ici, nos sincères condoléances.
Les membres du Bureau des Anciens et Amis du BEC
Immense tristesse .
Bien affectueux respect. Je ne sais pas chanter, mais nous te chanterons !
Je me souviens très bien de Pantxoa LARRABURU pour l’avoir entrainé au BEC avec ses amis tel Jean Louis Pontacq et Francis Camblats. C’était un cas respirant le folklore ayant un rugby un peu particulier. Comme l’a dit Jean Louis il adorait le pays basque cette magnifique région, son berceau ou il trouvé accidentellement la mort. Nous perdons un ami que je salue.
Adieu Pantxoa
Pilou MAURER
Pantxoa (ou Fantxoa ou Frantxoa) fut un joueur du BEC inoubliable par sa singularité. Pour avoir joué avec lui ou entraîné avec Mailharin, nous nous souvenons de sa fierté (comme nous l’a conté par ailleurs Mailharin) d’avoir joué en équipe première à Garazi sur ses terres. Un aboutissement, lui l’inlassable défenseur de sa terre basque. Merci Ponpon, je ne connaissais pas la vrille du Tonton. Souvenirs de beaucoup d’heures de chant à l’Oriental de Mme Valade ou en face chez les basques du Girondin de Marcelle, accompagné, au chant aussi quelquefois, par sa sœur Monique et ses deux copines. Nous l’avons ensuite souvent croisé dans les peñas des fêtes de Bayonne, toujours chantant et ferraillant sur la défense de l’euskara. Un pur homme de conviction. Respect Pantxoa.
A toute sa famille et proches, nos pensées affectueuses
Titou
Cher Larra,
Lundi, tu nous a quittés en survolant ta Soule chérie.Tu prenais beaucoup de plaisir à la faire connaître et à la partager.
Tu étais Souletin d’abord, Bayonnais ensuite mais aussi Réunionnais.Ton escapade estudiantine Bordelaise et au BEC m’avait fait t’apprécier.
Ta générosité était sans bornes, tu accueillais à bras ouverts qui voulait venir te voir que ce soit à Tardets, à Bayonne ou à St Denis de la Réunion.
Certes tu étais un Basque pugnace et tonitruant mais c’est précisément cela qui te rendait si attachant.
Je suis vraiment heureux de t’avoir connu et si triste de te perdre.
Adio Larra
Fafa