Alors que :
- La température intérieure recommandée lors de ces fêtes de fin d’année ne doit pas dépasser 19°.
- Les gestes barrières sont de nouveau à respecter en raison d’une 9ème vague de ce « putain » de Covid.
- Cette épouvantable et criminelle guerre en Ukraine nous fait compter les morts par dizaines de milliers dont et surtout de nombreux enfants. L’horreur !
- L’inflation généralisée n’empêche pas les « nantis » de consommer plus que de raison.
- La planète terre est en état de surchauffe à cause de la progression de dioxyde de carbone (CO2) dans l’atmosphère.
- … etc, etc…
Oui ! Beaucoup de que (non pas de queue…). Beaucoup de raisons à s’émouvoir et à s’inquiéter dans cette période de vie aussi néfaste.
Pour nous les bécistes et en plus de tous ces facteurs négatifs, il nous est promis un dur hiver sans abri.
C’est en effet sous la « Yourte virtuelle » que nous pourrons passer Noël et sans doute le 1er de l’an 2023. Fêtes de fin d’année où nous aurions pu enfin nous retrouver tous ensemble pour se réchauffer autour d’un pot d’amitiés.
Et bien NON ! Ce cadeau ne nous sera pas fait par la grande « Université ». Naïfs, Nous ne pourrons même plus croire au bon père Noël. Nous ne dirons pas non plus que c’est une « ordure » car nous avons toujours étés respectueux des instances qui nous gouvernent ainsi que (encore un !!!) de nos partenaires instittionnels.
Pourtant, serions-nous des parias ou des intouchables tels les « Dalits » ou « Harijans » en inde pour susciter autant de mépris ?
A cette question, et pour ma part, je n’ai point de réponse.
Simplement un constat : – Dans ce monde égoïste et hyper matérialiste ou l’argent et la finance président à nos vies, nous sommes là sans doute un Club Sportif Atypique où le bonheur spirituel a toujours pris le dessus sur le bonheur matériel.
Cependant et ce qui est paradoxal dans notre quête c’est qu’aujourd’hui nous avons besoin de ces « biens » matériels (qu’on nous retire) pour continuer nos activités sportives. L’esprit du BEC est toujours prégnant heureusement ; c’est notre panache. Pourtant, il nous faudra bien trouver un compromis entre matérialisme et spiritualité pour continuer à exister ; Retrouver l’heureux cri des enfants le mercredi sur le près et pouvoir leur proposer un gouter de réconfort avec quelques oranges pour Noël. Ce n’est pas grand-chose mais pour nous ; c’est ça le vrai bonheur.
Restons joyeux ! – Bon Noël à vous toutes et tous.
Sous le « sapin numérique » vous trouverez un petit cadeau, ce magnifique texte de BERGSON.
Jacques Cougouille – Naïf administrateur du site web BEC Anciens et Amis