Rocquencourt. L’hiver arrive, l’hiver est là. La « junte » Universitaire Bordelaise telle les gardiens du temple empêche nos jeunes bécistes ainsi que les supporters des équipes visiteuses à accéder à nos installations mythiques sur le campus universitaire. Faudra-t-il, une « bavure » de sa garde rapprochée pour modifier cette détestable position ? Ou bien les rigueurs des frimas de l‘hiver, avec ces brouillards épais et glaçants qui risquent toucher nos enfants, pour lui faire accepter et comprendre que ceci ne peut durer dans le temps.
Oui ! Il est grand temps que l‘on trouve un bon compromis « gagnant / gagnant » afin d’éviter que cette « guerre » ne fasse des victimes des deux côtés et/ou collatérales.
Faisons un rêve ….
Les deux protagonistes arrivent à s’écouter et à s’entendre enfin. La grande Université (car c’en est une) comprend tous les enjeux sociétaux de la présence d’un club sportif amateur au sein de son campus. Elle accepte élégamment que Le BEC, avec toutes ses qualités intrinsèques et au-delà de sa glorieuse histoire, retrouve enfin ses racines pour de nouveau pousser et fleurir.
Alors le printemps reviendra, avec ses petits bourgeons qui donneront plus tard de jolis fruits et nous pourrons ainsi retrouver les suaves clameurs et senteurs des chansons de nos étudiants de nouveau réunis.
” BE – BE – BEC – BEC Universitaire ! BE – BE – BEC – BEC Université ! “
Non ! Nous ne souhaitons pas que le stade crève (ça c’était dans les temps d’avant et pour le folklore…). Nous avons en effet, tous le droit d’exister, pour le moins sur le plan sportif.
« Peace and Love ».
Les romantiques ont toujours vingt ans… et contre mauvaise fortune, les rêves, la musique et la poésie peuvent nous sauver la vie….
Cf. Louis Aragon et Jean Ferrat : ” Un Jour viendra… “
Jacques Cougouille – Administrateur site web des Anciens et Amis du BEC.
PS : – Merci à Plantu pour ses dessins chargés de symboles et qui nous inspirent dans ses temps grisonnants. Merci à Louis Aragon et Jean Ferrat pour la beauté des mots qui nous font espérer qu’un jour viendra couleur d’orange…
quelle tristesse, pourquoi les valeurs d’antan ne sont plus les valeurs du lendemain? je me souviens d’un temps ou il y avait sur le campus du sport a tous les étages chaque fac avait son équipe.la fac de sciences fut en ce temps là championne de France de rugby à treize; t’en souvient tu Arbouet.?
j’ai écrit par ailleurs que pour moi la modernité était un gros mot. en voici une nouvelle preuve.le mot contemporain suffit largement.
amitiés bécistes
pierre salles
Amen Jacques !
Puisse ce message de paix être entendu par l’université parce que c’est vrai qu’on commence sérieusement à se les peler sur le bord du près !